Le diktat sodomite

Vous est-il déjà venu à l’esprit comme idée que les Sodomites font tout pour ne pas se faire appeler de la sorte ? Ils préfèrent contourner le terme religieux et même le mot « homosexuel » les fait souvent pâlir de rage. Les appellations les plus exotiques ont réussi leur trouée victorieuse : homo en version courte, gays (c’est quoi en français ?), etc. Un autre sobriquet nous enquiquine jusqu’à dans les rues : LGBT. C’est dire que la fornication par derrière en version mâle-mâle ou le féminin encastré se transforme de plus en plus en Internationale politique, voire même diktat à l’échelle mondiale.

Vous est-il déjà venu à l’esprit comme idée que les Sodomites font tout pour ne pas se faire appeler de la sorte ? Ils préfèrent contourner le terme religieux et même le mot « homosexuel » les fait souvent pâlir de rage. Les appellations les plus exotiques ont réussi leur trouée victorieuse : homo en version courte, gays (c’est quoi en français ?), etc. Un autre sobriquet nous enquiquine jusqu’à dans les rues : LGBT. C’est dire que la fornication par derrière en version mâle-mâle ou le féminin encastré se transforme de plus en plus en Internationale politique, voire même diktat à l’échelle mondiale.

Vous pourriez me rétorquer que ce qui se fait dans le lit ne regarde que les deux – pourvu qu’il n’y ait pas de partouse – participants et… personne d’autre. Je vous le rends bien. Que chacun s’amuse à sa guise ! Mais un sujet qui est plus que tabou dans la Hollande de nos jours c’est le changement psychiatrique qui s’opère dans la tête des intervenants. Ceux qui ont côtoyé les homosexuels de près peuvent témoigner d’une drôle d’attitude à l’égard des personnes du même sexe qu’eux ou du sexe opposé. Trois fois de suite au bureau j’ai eu affaire à des gens de cet acabit. A chaque fois je constatais des harcèlements à répétition qui tournaient très vite en un sentiment de haine démesurée. Qui plus est, les jeunes femmes pourvues d’un joli minois, étaient, elles aussi, perçues comme des concurrentes immédiates à éliminer presto-rapido.

Je vous vois déjà venir avec vos gros sabots ! On va me seriner des contes de Noël sur les bons Samaritains d’homos qui pourvoient aux besoins des pauvres et essuient les larmes de la veuve. Mais en fait, pour que vous vous rendiez compte à quel point vous êtes déjà assujettis à cette nouvelle idéologie qui date de moins de 20 ans, je vous propose une expérience : allez clamer dans les rues que vous trouvez les ébats amoureux version homme-femme dégoûtants ! Je vous assure que rien ne se passera hormis le fait que l’on vous prendrait peut-être pour un dérangé. Et maintenant sortez sur la voie publique avec une pancarte de type « A bas les homos ! » Là on vous courra sus au Futur immédiat et vous aurez tous les droits de risquer votre peau au Commissariat sinon à la Sainte-Anne.

Le mauvais vent qui nous amène cette peste de dictature par derrière est, comme toujours, généré aux Etats-Unis. Là-bas le gouverneur de l’Etat de Géorgie se fit traiter de tous les noms pour avoir voulu faire passer une loi à l’échelle locale. Dans ce projet d’acte parlementaire, les communautés religieuses étaient reconnues comme jouissant d’immunité juridique au cas où un prêtre refuse de célébrer le mariage d’un couple homosexuel. Il devrait être aussi défendu de poursuivre en justice une personne qui exprime son rejet de l’homosexualité en raison de ses convictions religieuses. Là la bacchanale a battu son plein : une tempête médiatique souffla de la Côte Ouest à la Côte Est. Certains politiques proposaient même à d’autres Etats d’Amérique de rompre tout négoce ou autre forme de relations au cas où les Géorgiens votent pour de bon cette « honte nationale ».

En bien, en ces jours d’après-Pâques, je suis le Pape si ce n’est un diktat des plus musclés. Même les Syriens ont le droit, sous le régime de Bachar, d’être Orthodoxes, Catholiques, Alaouites, Sunnites ou Chiites, ou encore athées et forniquer selon leurs us et coutumes. Mais point les Américains ni les pauvres hères occidentaux complètement inféodés jusqu’à leur tripaille.

Vous savez également, entre vous et moi, que vos enfants sont déjà soumis à ce lessivage de cerveau d’où ils sortiront avec des idées reçues de type stalinien : à savoir, je vis dans l’Etat le plus démocratique du monde où les LGBT ont les mêmes droits que tous ! Mais non : il y a erreur ! Les LGBT ont tous les droits mais les gens de type traditionnel n’en ont plus aucun ! C’est là où le bât blesse.

Alors vu cette infamie je comprends les Musulmans qui, après tout, se fichent pas mal de la démocratie mais entendent préserver leur progéniture contre ces rebuts d’humanité qui implantent leurs mœurs dépravés. Il y aussi une grande surprise à constater qu’à la différence des Français de souche, les Musulmans arrivent à se protéger. Si vous habitez, par exemple, dans les Hauts-de-Seine, dans un quartier classé difficile où, en plus, l’imam fait la loi, personne ne vous cherchera noise si vous voulez « zigouiller de l’homo ». Allez vous exprimer contre les LGBT du côté de l’avenue Foch pour se faire tabasser à la mode du général Piquemal.

Faut-il en déduire que la France sombre plongeant de plus en plus dans les ondes du néant ? Que non ! Quelle que soit la religion – l’islam, le christianisme ou le judaïsme – la société LGBT n’a aucune chance de survie parce que c’est contraire aux lois de la nature et répond, d’une certaine façon, à un état mental secondaire. J’allais oublier : les homos ne font pas d’enfants donc, de toute façon, l’avenir ne leur appartient pas !

Alexandre Artamonov, Radio Radonezh.ru