Alors que le soir de Noël un camion de pompiers tombait dans une embuscade dans un quartier d’Ajaccio en Corse à forte population maghrébine, une foule d’un millier de personnes s’est spontanément rassemblée le lendemain 26 décembre devant la préfecture pour exprimer sa solidarité envers les deux pompiers blessés. Aux cris de «On est chez nous !» une partie des manifestants s’est dirigé vers le quartier «des Jardins de l’Empereur» où a eu lieu l’agression.
Devant les barres d’immeubles, les Corses ont exigé que les coupables leur soient remis alors que le préfet et les forces de l’ordre s’interposaient pour «éviter des débordements». Quelques individus ont saccagé une salle de prière musulmane et brulé des corans.
Le premier ministre Manuel Valls et le ministre de l’intérieur français se sont empressés d’exprimer leur indignation devant l’atteinte portée «aux valeurs républicaines» Ces hommes politiques oublient un peu facilement que les responsables de ces violences ne sont pas les citoyens corses exaspérés par une vague migratoire dont ils ne veulent pas mais bien les dirigeants de l’Europe occidentales incapables de protéger les peuples et véritables instigateurs du grand remplacement des populations blanches.
Ces événements font suite à la victoire des nationalistes corses aux élections régionales de décembre et au refus du gouvernement français d’accepter l’usage de la langue corse lors des débats de l’Assemblée territoriale. Combat pour sa langue, refus de disparaître : le peuple corse lutte pour sa survie comme le fait le peuple du Donbass. Les oligarques de Paris feraient bien de méditer sur l’échec de leurs amis de la junte de Kiev avant de songer à réprimer la juste colère d’un peuple.
Vincent Perfetti
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