J’ai été réveillée, au petit matin, par cette épouvantable nouvelle. Les nôtres sont morts à Nice. Des Français, des Européens, des Russes y compris. Tous sont venus célébrer le 14 juillet, c’est-à-dire une fête nationale que l’on puit ne pas apprécier – c’est mon cas – mais qui, pour autant, n’en demeure pas moins nationale. C’est le mot clé. Une nation, non, plus que ça, une civilisation est attaquée sur son propre territoire sans que le chef d’Etat, le sieur Hollande et les oligarques qui l’entourent ne daignent mettre fin à leur démagogie emprunte de lâcheté et d’hypocrisie. Je viens de voir les rapports policiers. De mini-attentats sont presque quotidiennement perpétrés sur le sol français. Ils sont passés sous silence par l’Elysée et les médias officiels qui se rendent de fait même complices non pas des terroristes mais des guerriers du Califat que l’on tend à affubler de traits non spécifiques propres au terrorisme. Vous savez pourquoi ? Parce qu’on ne peut pas vaincre le terrorisme, il n’a pas vraiment d’identité et de frontières. En revanche, on peut vaincre une idéologie d’inspiration religieuse en cassant jusqu’à son socle le Système. On le peut mais on ne le veut point. Les raisons en sont les suivantes, elles deviennent patentes si l’on fait une projection logique.
Issue numéro 1. Ça n’en est pas une mais ça reste une possibilité. On laisse faire. Comme avec les Allemands, en 40-44, on essaye de se mettre d’accord, on négocie. Il n’est pas certain que ce type de négociation aboutisse à moyen terme (qu’en dire sur le long ?) mais il n’est pas exclu que ça donnerait le temps de souffler en attendant l’avènement d’une guerre hybride incontournable qui éclaterait sur fond de prédominance quantitative des populations solidaires des guerriers du Califat.
Issue numéro 2. On laisse les urnes tranquilles, elles ne résolvent rien au stade présent. L’armée prend le pouvoir. Un franxit est voté au terme d’un référendum qui permettrait dans l’immédiat la fermeture des frontières. S’en suivent des purges à l’échelle nationale, à savoir le démantèlement total des réseaux salafistes, le contrôle total des mosquées, la déchéance de nationalité et le renvoi de tout élément ne serait-ce que soupçonné de collaboration pro-islamiste. Faut-il continuer ? Très clairement, nous tombons dans un scénario de guerre.
Conclusion : la guerre est inévitable. Laquelle des deux issues privilégier ? Chacun sa réponse.
Mais le cabinet de M. Hollande verse de plus belle dans ses racontars schtroumpfesques pourvu de satisfaire des islamistes en acte et en puissance et pourvu de ne pas contrarier l’oncle Sam qui verrait rouge en cas de riposte musclée. L’extrême-droite, voilà l’ennemi ! « Les communistes, voilà l’ennemi » ! … ça ne vous rappelle rien 75 ans plus tard ?
Mais je crois à la France. Ce n’est pas pour rien qu’un pays est consacré à la Vierge depuis Louis XIII. Ce n’est pas pour rien qu’il a été choisi par le Califat comme l’un des premiers pays européens à être envahi (outre le fait qu’il est la capitale du nucléaire dans l’UE). Condoléances aux familles. Mépris pour les élites politiques.
Françoise Compoint
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