La nouvelle fait sensation dans le monde des ONG humanitaires et parmi les Kiwaniens ! Des habitants des communes bretonnes de Plélan-le-Petit et de Dinan dans le 22 nous ont envoyé un dossier terrifiant mais aussi sidérant sur l’action violente du président de l’ONG Kiwanis de Dinan, Philippe Journiac, appelé aussi « l’Amiral !» par les Kiwaniens, à l’encontre de deux personnes âgées. Jusqu’à aujourd’hui Kiwanis était pour nous «générosité, bienveillance, passion, communauté, service, confiance, joie, espoir, changement, être génial, convivialité, bonheur et amour»
et ou encore Kiwanis . Des habitants de Plélan-le-Petit et de Dinan, communes bretonnes, irrités de voir avec quelle impunité le président Kiwanis de Dinan dit «l’Amiral » a abusé de la faiblesse de deux retraités, sont en colère et ne peuvent plus garder le silence. Dans les média bretons, le président Kiwanis de Dinan est, en effet, constamment sanctifié par Ouest-France, Le Télégramme, Le Petit Breton etc. avec des titres comme, «au profit d’œuvres caritatives», «Générosité en direction des enfants» ou «aide aux personnes faibles et âgées…» «les forces du coeur au son du biniou», «Kiwanis intervient auprès des faibles»… Pendant que les média sanctifient les actions dites généreuses du président Kiwanis de Dinan soutenues par des maires, Philippe Journiac, ou encore «l’Amiral (sic)» annexe une parcelle de 47 m2 à des personnes âgées dans une action violente tout en ayant la connaissance dès le départ que cette parcelle n’est pas la sienne !
Règle d’Or de Kiwanis : «agir envers les autres comme on voudrait qu’ils agissent envers soi» . Les personnes âgées de 80 ans sont chez elles sur leur terrain depuis plus de 30 ans. Les deux retraités ont travaillé comme infirmier toute leur vie professionnelle ! Toute leur vie a été de donner aux plus faibles des soins ! En 2004, le président de Kiwanis Dinan, Philippe Journiac, personnage publique, citée dans tous les média locaux (et qui souhaite faire de la politique par la création d’un parti politique et décrit comme «être l’Amiral et être omniprésent» par les Kiwaniens et intervenir en se présentant comme un homme généreux ne voulant que le bien pour les administrés, a posé « son sac de dit humanitaire » à côté du couple de retraités âgés. Un plan d’arpentage est signé en 2004 entre les 2 retraités de Plélan-le-Petit et le président de Kiwanis de Dinan limitant les 2 propriétés par un bornage. Mais, le président de Kiwanis de Dinan, sans respecter le bornage qu’il a reconnu par sa signature, a construit un mur de plus de 2 mètres de haut et de plus de 100 mètres de long sur le terrain des deux personnes âgées pour avaler par annexion la parcelle AC 146 des 2 retraités derrière le mur construit ! Le coup était comme un tour de magicien si les habitants de la commune ne montraient pas leur indignation et si les éléments de preuves de géomètres, de relevés de propriétés ou de documents de la fiscalité, ne venaient pas déranger et dénoncer l’annexion de la parcelle AC 146 presque parfaite réalisée par le président de Kiwanis de Dinan. Surtout que le vendeur a informé Philippe Journiac à la page 4 de l’acte de vente que le descriptif fait dans l’acte de vente lors de la signature ne résulte pas d’un bornage et que le vendeur a précisé dans cet acte de vente qu’aucun bornage n’a été effectué. Les 2 retraités, 80 ans et 76 ans au moment des faits, ont assisté impuissant à l’annexion faite rapidement par l’entrepreneur et président de Kiwanis de Dinan par l’emploi de 10 ouvriers africains sur leur terrain ! Imaginez ! Vous vous levez le matin et en regardant par la fenêtre vous voyez 10 ouvriers sur votre terrain en train de monter un immense mur chez vous et vous apprenez que celui qui fait ça est… un président d’une ONG humanitaire reconnue par l’ONU qui travaille en partenariat avec l’UNICEF !
Brecht, « celui qui ne connaît pas la vérité est un idiot, mais celui qui connaît la vérité et qui dit qu’elle est un mensonge, est un criminel ». Les 2 retraités ont fait intervenir un médiateur (leur notaire) auprès du président de Kiwanis pour demander de régler rapidement le litige. Le président de Kiwanis de Dinan a tout simplement ignoré la demande du notaire et des retraités âgés et a même osé écrire que la parcelle prise par ses soins serait la sienne en utilisant les dires du vendeur de son terrain d’avant la réalisation du bornage de 2004 signé par lui-même ! Par l’emploi du déni, le président de Kiwanis de Dinan, compte gagner du temps. On a appris de source policière que le président Kiwanis de Dinan a tenté avec sa femme de faire changer les relevés des propriétés des personnes âgées en débarquant au cadastre et à la fiscalité de Dinan sans notaire, sans décision de justice quand des citoyens révoltés ont écrit sur le mur « Infâme Journiac, tu n’as pas rendu les 47 m2 volés à la famille R. ! ». Le Kiwanien dit Amiral s’est cassé les dents contre la loi et les titres de propriété car le cadastre et le service fiscale de la ville de Dinan ont éconduit l’effronté dit «Amiral» qui a dû remonter «sur son bateau». La France n’étant pas totalement dans une République bananière, le président Kiwanis de Dinan n’a pas pu forcer l’administration française à obéir à sa demande. «Le président Kiwanis de Dinan est venu d’abord nous voir, en se présentant à nous comme un ancien parachutiste qui a sauté sur Kolwezi, pour nous forcer à lui vendre une parcelle de notre terrain avant la construction du mur par lui», a expliqué encore très choquée, l’ancienne infirmière retraitée, fille de résistants bretons et propriétaire du terrain annexé par le président de Kiwanis de Dinan, Philippe Journiac. «Nous avons refusé car nous voulions vendre notre terrain en entier et pas par morceaux» ; «c’était incroyable ! Le président Kiwanis de Dinan voulait nous obliger à lui vendre ce qu’il voulait !» ; «le président de Kiwanis de Dinan nous a alors menacé car il a dit en partant, «je vais vous empêcher de vendre et de toutes les façons vous êtes trop vieux pour faire quelque chose contre nous… » ; «Le président de Kiwanis de Dinan a alors construit un mur immense sur notre terrain en refusant de voir le bornage et d’entendre nos réclamations et protestations !». «La personne âgée tremblait de peur quand elle parlait du président de Kiwanis. Ses mains tremblaient…», a expliqué dans l’indignation un habitant de la commune. Les retraités réclament, depuis le début de l’annexion, au président de Kiwanis de Dinan de leur rendre leur parcelle AC 146, de retirer le mur construit par lui, de payer les diverses indemnités relatives à cette annexion et de rendre à l’état leur parcelle endommagée par Philippe Journiac car cela coûte de l’argent.
Un réseau ! Le président de Kiwanis de Dinan, ayant comme cabinet de notaires situé à Saint-Malo celui du président du Conseil supérieur du notariat, sait qu’une procédure en justice est une lutte contre le temps pour des personnes âgés de 80 ans et retraitées de la fonction publique touchant une petite retraite d’infirmier car il faut compter 10 ans jusqu’en cassation ! Et le président Kiwanis de Dinan savait, étant bien entouré par son notaire, «patron» des notaires de France, que construire sur un terrain qui ne lui appartient pas et totalement interdit par la loi française d’autant plus que ce chef «très kiwanien» dit «l’Amiral» est, cela ne s’invente pas, dans la construction et l’aménagement de terrain par sa société ORCAS ! Le président de Kiwanis table, donc, sur la mort des personnes âgées dès son annexion programmée pour prendre leur terrain ! Programmée, car ayant essuyé un refus des personnes âgées le Kiwanien pas très humaniste a tout simplement pris par la force et l’emploi de la violence en abusant de la faiblesse de personnes âgées ce qui ne lui appartient pas tout en disant que la vérité est un mensonge, ce qui est un acte criminel ! Car «celui qui ne connaît pas la vérité est un idiot, mais celui qui connaît la vérité et qui dit qu’elle est un mensonge, est un criminel».
Avec ce dossier situé dans une petite commune bretonne, nous avons découvert l’existence de Kiwanis qui agit avec un système de réseau qui comprend des juristes, des notaires, des architectes, des entrepreneurs, des décideurs dans l’éducation nationale… avec des maires et des élus locaux. Tout un réseau de petites mains serviables est là pour s’entraider de l’ONU via l’UNICEF aux réseaux Kiwanis implantés sur la France pour infiltrer les instances politiques des communes et des régions tout en demandant des dons aux habitants alors que l’ONU est l’instance mondiale la plus riche et la plus puissante ! Cela n’est pas révélé par les journaux locaux. Cet article, après avoir révélé un dossier concret, annonce une enquête sur ce qu’est Kiwanis et ses objectifs. Car Kiwanis est aussi en Ukraine du côté du régime de Porochenko qui a donné l’ordre à son armée de massacrer les enfants et les civils russophones qui habitent le Donbass ! Kiwanis une ONG humanitaire ? Le dossier concret situé sur la jolie ville de Dinan montre par la preuve que non !
Ci-joint, des éléments de preuves:
Relevé du titre de propriété de Philippe Journiac publié par la Direction Générale des Finances Publiques de Dinan où nous voyons bien que la parcelle AC 146 annexée n’appartient pas au président de Kiwanis de Dinan mais au couple de retraités ! Les parcelles 134 et 174 sont listées, pas AC 146 sur le relevé de propriété du président du Kiwanis de Dinan !
Plan montrant la parcelle AC 146 avalée par Philippe Journiac, président du Kiwanis de Dinan, derrière la construction d’un mur afin de montrer aux lecteurs le contexte
Relevé du titre de propriété du couple de retraités publié par la Direction Générale des Finances Publiques de Dinan où nous voyons bien l’appartenance de la parcelle AC 146 aux personnes âgées !
Surtout que le vendeur a informé Philippe Journiac à la page 4 de l’acte de vente de Journiac que le descriptif fait dans l’acte de vente lors de la signature ne résulte pas d’un bornage et que le vendeur a précisé dans cet acte de vente qu’aucun bornage n’a été effectué. Philippe Journiac a monté un mur sur le terrain des retraités (en sachant que c’est le terrain des retraités) pour l’annexer sans respecter la déclaration du vendeur de la non existence de bornage, en violant le plan d’arpentage signé par lui-même et en ne respectant pas les réclamations et avertissements des personnes âgées, du notaire et du géomètre expert ! Chez Kiwanis tout est possible !
Plan montrant les positions des parcelles 134 et de 174 où la minuscule parcelle 174 du président de Kiwanis de Dinan est aussi listée.
Philippe Troadec
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